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 His touch

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Ephyse
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Ephyse


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MessageSujet: His touch   His touch EmptyMer 7 Juin - 5:21

His touch

Auteur : Wendy

Résumé : Quelquefois, des rêves peuvent prendre vie. Episode post – « We are family »[/b] (2ème saison)
http://www.roswellunderground.com/histouch.html


Traduction : Magie

PS : malgré certains passages, je jure que cette fic est complètement CC et M/M.

*****


- « Je ne sais plus quoi faire, Maria. »

- « Ca ce n’est pas peu dire », répondit celle-ci, sa voix légère et taquine.

- « Je suis sérieux », il enfouit sa tête dans ses bras.

- « Oh, non ! Non, non, non, non, non, Maxie. Tu es ma colonne vertébrale. Mon pilier de force, » dit-elle en ébouriffant ses doux cheveux bruns. « Nous sommes liés par un pacte solemnel. Tu te rappelles de cet été ? Tu ne peux pas arborer ce froncement de sourcils et être toujours un membre à part entière du club des « Sois heureux ».

Il leva la tête. « Ne me demande même pas de chanter la chanson. »

- « Max, mon petit, tu me rabaisses le moral. Je comprends que repousser Liz – encore, devrais-je ajouter – est pénible. Mais c’était ton idée. Vis avec. Ou pas. »

Il posa son menton sur la table. « Ca veut dire quoi ? »

Elle roula des yeux. « Tu l’aimes. Elle t’aime. Vous faites demi-tour et vous enfuyez au loin au moindre signe de pression. »

- « Maria, » c’était lui maintenant qui roulait des yeux.

- « D’accord, des monutentales circonstances. Quand même, si tu veux cette fille comme je sais que tu la veux, tu devras tenir le coup. De grands changements sont à l’horizon, Max. Pour nous tous – extraterrestre ou pas. Fais un break, mais n’évite pas le problème à chaque fois que tu as des doutes. Michael est le roi de cette tactique. »

Il hôcha la tête pour signifier son accord. Maria et Michael étaient de retour à la case départ. Ils étaient impliqués d’une façon très limitée. Depuis l’arrivée de Laurie, il la repoussait à nouveau. Maria en souffrait, mais elle n’allait pas le laisser voir. Max détestait qu’elle se résigne à accepter de souffrir.

Il plaça une main compatissante sur son épaule. « Je suis désolé. »

Maria sentit son sourire se figer. Il vint vers elle et lui fit face. Sa vision se brouilla lorsqu’il l’attira dans ses bras. Il y avait une chose de bien dans les amis masculins ; tout le support physique sans aucune friction. Elle aussi avait ressenti l’isolation dans laquelle il se vautrait. Elle renifla bruyamment. « Quand sommes-nous devenus de vrais pleurnichards ? »

Son rire forçé lui offrit un léger encouragement. « On l’est, pas vrai ? »

Michael se figea de l’autre côté de la porte. Sa main resta au-dessus de la poignée de la porte, prêtà quitter la pièce. La vue était un solide coup à son égo. Max Evans avait eu le dessus sur lui une fois encore. Seulement cette fois, les enjeux étaient bien plus élevés.

Il regarda comme Max caressait tendrement son dos. Le visage de Maria était pressé contre son épaule. Il n’était pas sûr ce qui comptait le plus, la colère ou les regrets. Il grinça des dents comme les lèvres de Max touchèrent la chevelure blonde.

La tentation de charger et de séparer la paire s’atténua alors qu’il était submergé par une vague de culpabilité. Il était le seul qui pouvait la faire pleurer. Son esprit tourna, essayant de deviner ce qu’il avait pu faire ces derniers jours pour lui causer du chagrin.

Ils prenaient les choses très lentement cette fois. Cela avait été sa décision de traiter leur relation avec précaution. Il lui devait bien ça.

Michael reposa son front contre le mur froid. Il devait se forcer à ne plus regarder cette scène. Il ne pouvait plus supporter les signes de tristesse sur son visage. En plus, il haïssait le fait que ce soit Max qui lui offrait du réconfort.

Ca aurait dû être lui en train d’essuyer cette larme, dessinant une caresse apaisante le long de sa colonne vertébrale, chassant au loin ses doutes, provoquant un léger rire. Michael ferma les yeux. Avec un soupir de frustration, il réalisa à quel point il souhaitait tout ça. Il voulait voire son amour pour lui briller dans ses yeux. Il voulait être digne d’elle. Plus important, il avait besoin d’être celui vers qui elle allait quand elle se sentait un peu découragée.

Quand il regarda par la fenêtre, sa mâchoire se crispa. Les mains de Max se trouvaient sur la taille de Maria. Il se balançait au rythme d’une chanson du juke box, lui parlant à voix basse, les lèvres tout près de son oreille. Michael aurait pu l’embrasser là, juste sous la partie sensible de son lobe. Ses mains suivraient un chemin naturel, vers ses hanches, avant de faire le tour et de caresser ces courbes.

- « Max ! » Maria sauta en arrière avec un hurlement de surprise.

- « Quoi ! » Max était surpris.

- « Ecoute, mon pote, je sais que tu es bouleversé à propos de Liz. Mais ça ne veut pas dire que tu peux me tripoter. »

Michael était prêt à le boxer. Son mouvement s’interrompit lorsqu’il se rappella une chose…

Max secoua la tête, les yeux exhorbités. « Je n’ai rien fait ! »

- « Mon œil ! Tu m’as caressé les fesses ! »

L’expression horrifiée sur le visage de Max n’avait pas de prix. Michael dut hocher la tête en accord silencieux comme son ami embarrassé levait les mains pour se défendre. « Je jure qu’elles ne sont pas descendues au-dessous de ton tablier. »

- « Es-tu en train de me dire que j’ai imaginé ça et tes lèvres sous mon oreille ? », son pied frappant le sol.

- « Maria ! »

Michael en resta bouche bée. Etait-il possible qu’elle ait senti le baiser qu’il n’avait fait qu’imaginer ?

- « Okay, » elle prit une grande respiration. « Je suis maintenant complètement pathétique et désespérée. Désolée. »
- « Aucun problème, » Max se balança nerveusement sur ses pieds. « Je ne prendrais pas avantage de toi comme ça, Maria. »

Elle opina du chef, les lignes tendues de son front disparaissant. « Désolée. Je sais ça. Ecoute, nous sommes tous les deux remontés avec cette discussion sur nos amours déçues. Annulons cette soirée. On s’amusera demain. Etre déprimée n’est pas vraiment mon genre. »

Il se pencha pour la serrer dans ses bras mais s’interrompit et lui serra la main. « Juste une précaution. »

Maria se mit à rire et le serra fort dans ses bras. « On se voit plus tard. »

Michael la regarda encore un moment pendant qu’elle rangeait le balai et la pelle. Il décida de sortir en cachette par la porte de derrière, hésitant à propos de cette coincidence. Peut-être qu’une longue balade dans la nuit froide allait le calmer et empêcher ses pensées d’exploser et de continuer là où elles en étaient restées.

*****

Maria se glissa sous la surface de bulles mousseuses. Elle espérait qu’un long bain allait effacer cette bizarre nuit roswellienne. Ce n’était pas comme si elle pouvait appeler Liz avec ce problème. ‘Oh, je crois que ton âme sœur m’a tripotée ce soir’. Non.

Elle reposa sa tête en arrière sur le rebord de la baignoire et regarda le plafond. Le seul type dans les bras duquel elle voulait être était quelque part à la recherche de son passé. Son image était imprimée dans son cerveau. Tout ce qu’elle voulait, c’était de fermer les yeux et dormir. « Michael ».

De l’autre côté de la ville, il se réveilla en entendant une voix éthérée. La voix de Maria semblait provenir de derrière lui. Ses yeux firent le tour de la pièce sombre mais ne trouvèrent rien. Une odeur de framboise lui chatouilla le nez. Il pourrait jurer qu’il entendait le bruit de l’eau tapotant contre son lit. Le sol était pourtant sec à première vue et les seules odeurs qu’il pouvait s’attendre à sentir étaient celles de pizza froide et de chaussettes sales.

Il eut une vision soudaine de Maria allongée dans son bain, sa peau toute rose et chaude. Il imagina so gorge et sa poitrine, mouillées. Il sourit comme il ‘vit’ le reste de son corps. Qu’est-ce qu’il ne donnerait pas pour l’embrasser de partout.

Avec une brusque respiration, Maria s’assit soudain dans sa main et attrapa une serviette. « Ohmondieu ! »

Ses yeux parcoururent la pièce comme la peur la saisissait. Elle était seule dans la petite pièce. Deux bougies l’éclairant chassèrent toute idée d’intrus. Et pourtant, elle sentait quelqu’un caressant son cou. Elle se secoua pour se débarrasser de cette sensation effrayante. « L’heure du bain est terminée ».

*****

Comme il approchait les filles au déjeuner, Michael entendit des bouts de leur conversation.

- « Je vous le dis, ça avait l’air si réel. Et je vous parle d’une situation digne de ‘la 4ème dimension’, là ».

- « Personne n’était là dans la salle de bain ? » Isabel avait l’air sceptique.

- « Pas de fenêtre. Nulle part où se cacher. Tu as déjà vu ma salle de bain. »

- « Je crois toujours que tu as une imagination débordante, » dit Tess avec un sourire coquin.

- « A n’importe quel autre moment, j’en serais ravie. »

- « Que se passe-t-il, Mesdames ? » demanda Michael.

- « Maria nous racontait un rêve incroyable » dit Liz en se poussant pour lui faire de la place.

- « Est-ce que j’étais dans ce rêve ? » dit-il en se blotissant contre sa petie amie. Un parfum familier lui parvint et il se figea. « Framboise ? ».

- « Quoi ? » l’interrogea Maria. « Oh, le nouveau parfum de mon bain moussant. Est-ce que tu aimes ? »

Mais il était déjà debout. « Je – je dois y aller. Un devoir de math. »

Quatre filles le regardèrent s’enfuir. Tess haussa les épaules d’un air concerné. « C’était limite étrange. »

- « Pour Michael, ça ne veut rien dire », Isabel ne peut s’empêcher d’envoyer cette pique.

- « Peut-on revenir à mon amant fantôme pendant une minute ? ». Maria regarda fixement Michael s’éloignant, fronçant les sourcils. « Etes-vous capables de vous téléporter, vous autres extraterrestres ? »

- « Quoi ? » trois voix s’exclamèrent.

*****

Il se tenait debout derrière le grill et la regardait par la petite fenêtre séparant la cuisine du restaurant. La lumière filtrait à travers ses cheveux blonds, alors que son brillant à lèvres étincelait pendant qu’elle récitait le menu. Le temps sembla ralentir comme elle se pencha, les courbes de ses jambes attirant son regard. Il pouvait jurer qu’il pouvait voir des particules de poussière danser entre ses doigts comme elle s’étirait pour chatouiller le menton d’un bambin.

Cela s’était déjà produit une fois, auparavant. Mais il pouvait blamer Max Evans et le pouvoir de la suggestion. Seulement voilà, Max n’était pas là. Cette excuse ne tenait pas la route et il était sûr que penser à de la’boue’ ne pouvait pas le sauver dans cette situation. Il était sur le point d’imaginer frôler sa joue empourprée…

- « Est-ce que mon ordre est prêt ? » Liz surgit par la fenêtre, le faisant sursauter.

- « Ouais » dit-il en lui tendant l’assiette.

- « Hmm, Michael. » Elle souriait.

- « Quoi ? » lui dit-il d’un ton sec.

- « C’est crû. »

Il jeta un coup d’œil sur la viande. « Oh. »

Liz se mordit les lèvres pour cacher son sourire. Il était occupé à faire griller un autre morceau de viande sur le grill, se concentrant sur le bruit sifflant de la viande en train de cuire. « Elle est jolie ce soir. »

- « Quoi ? », la rembarra-t-il encore, mais ses yeux se dirigèrent vers Maria pendant une fraction de seconde. « Oui. Elle l’est. »

- « Alors dis lui. »

- « Ce n’est pas le moment. » dit-il en retournant la viande.

Elle essaya d’attirer son attention. « Michael ? »
- « Liz ? »

- « Bientôt. »

Il posa l’assiette sur le comptoir. « D’accord ».

*****
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MessageSujet: Re: His touch   His touch EmptyMer 7 Juin - 5:21

Max ne fut pas surpris quand il vit Michael se glisser par la fenêtre de sa chambre ce soir-là. « Tu peux utiliser la porte, tu sais. Ca ne dérange pas mes parents. »

- « Je garde ça en mémoire pour le futur. » Il se plongea dans la chaise près du bureau. « J’ai besoin de ton aide. »

- « Ca promet. » Max prit son rôle de confident très à cœur, se demandant quelle drôle d’idée Michael avait encore eue. Si il mentionnait encore une fois le FBI…

Les sourcils de Michael étaient fronçés de concentration, essayant de trouver un point de départ pour exprimer son problème. « Quand je pense à toucher Maria, elle peut le sentir. »

- « Répète un peu ? » les yeux sombres de Max rencontrèrent ceux de Michael.

Les mots s’échappèrent alors de la bouche de Michael qui termina son discours, désespéré. « Je ne veux pas continuer à lui faire peur. Qu’est-ce que je dois faire ? »

Le cerveau de Max était occupé à essayer de résoudre ce nouveau mystère. Une étincelle se fit jour dans son regard. « Est-ce que tu as pensé à lui caresser les fesses ? »

- « Ouais », dit Michael en hôchant la tête. « Tu as pris à ma place, là. »

- « J’essayais de me convaincre que c’était une rechute mentale ou un truc dans le genre » rit Max, soulagé. Puis il se calma. « Ce n’est pas vraiment drôle ».

- « Non, ça ne l’est pas. » Michael était penaud. « Elle va me tuer. »

- « Peut-être pas. » Max s’assit sur son lit. « Es-tu amoureux d’elle, Michael ? »

Ne sachant pas comment répondre, il baissa la tête. « Et si je le suis ? »

Max ressentit de nouveau les conséquences de cette guerre dont ils ne pouvaient se rappeler. Leur liberté de vivre et d’aimer était gênée par le passé. « Mon sentiment est que toi et elle êtes connectés. Pas dans le sens ‘blessure/guérison’ comme nous l’avons découvert avec Liz… et Kyle. »

Michael remarqua que son ami était parti vers une autre tangeante. « Tu crois que cette connection que nous avons est en train d’essayer de recommencer là où on en était restés ou quelque chose comme ça ? »

- « Ou quelque chose comme ça » se concentra Max. « Si tu veux la vérité toute simple, je pense que vos… âmes, ont faim l’une de l’autre. Vous étiez si intenses dès le départ. Et nous ne savons pas grand-chose de nos…. Rituels d’accouplements. »

La colère surgit en Michael à cette suggestion. « Es-tu en train de dire que ce que je ressens pour Maria est juste un problème d’hormones ? »

- « Non, » se hérissa Max. Ils parlaient d’une de ses meilleures amies, là. « Je te le demande encore une fois, Michael. Aimes-tu Maria ? »
- « Tu sais bien que oui. » dit Michael en se renfonçant dans la chaise.

- « Les touches fantômes, comme les filles l’appellent, pourraient être une réponse inconsciente à votre séparation. Plus vos désirs sont, hmm, frustrés, et plus ce genre de toucher deviendra hors de contrôle. »

- « Alors si nous reprenons notre relation…. »

- « C’est dingue. »

- « Ne m’en parle pas » dit Michael. « Je dois arranger ça. Elle commence à avoir peur. »

Si quelqu’un avait suggéré il y a seulement un an que Michael Guerin se retrouverait si passionnément amoureux, il aurait protesté énergiquement et nié cette possibilité. Même son ami ne comprenait pas à quel point ses actions naissaient de ses émotions. Son intensité définissait ses pouvoirs. Max devait bien remarquer qu’il s’était amélioré dans le contrôle, qu’il semblait maîtriser de plus en plus. La même intensité liée à Maria, cependant, était un peu plus difficile à approuver.

- « Etes-vous… , » Max livra une bagarre interne pour trouver les bons mots « intimes ? »

- « Non », dit Michael, sombrement. « Je ralentis le rythme. Elle mérite mieux. »

Max rougit à la prochaine suggestion. « Peut-être que vous devriez accélérer le rythme. Ou on pourrait travailler sur une solution pour maîtriser nos hormones. »

Ca ne lui dérangerait pas de passer à un niveau supérieur, si il n’y avait pas le dernier problème qui avait surgi dans leurs vies. « Le moment tombe mal. »

- « Toujours » approuva Max d’un air sinistre.

- « Et pour toi et Liz ? Isabel dit que vous êtes en période de froid. Ca fait combien de fois maintenant ? »

- « Concentrons-nous sur toi, pour changer. » Il marmonna. « Je pense que tu devrais le dire à Maria. Laisse lui la possibilité de prendre sa propre décision. »

- « Et si elle ne veut rien avoir à faire avec moi ? »

La peur semblait envahir son compagnon d’incubateur. Max essaya de faire preuve d’un peu d’humour. « Si elle fait marche arrière, alors elle devra s’habituer à être tripotée par ton imagination débordante. »

*****

Maria respira le délicat parfum d’une douzaine de roses couleur pêche, tout en jetant un coup d’œil suspicieux à celui qui les offrait. « Okay, j’ai compris. Qu’est-ce qui se passe ? »

Des nerfs à vif causèrent Michael à se balancer d’un pied sur l’autre. C’était maintenant ou jamais. « Je suis le fantôme. »

Les yeux de Maria brillèrent de confusion. « Je demande un peu plus d’informations, là. »

- « Tu sais », il traînait un peu pieds. « Les, heu, touches fantômes que tu as senti. C’est moi. »

- « Le cours de géométrie de Monsieur Kellog ? »

Il l’avait oubliée, cette session. Hier matin, il l’avait regardée travailler sur ses problèmes de math. Il avait été si fasciné par sa beauté, avec cette drôle de coiffure relevée, qu’il avait imaginé la caressant. « Désolé. »
Au lieu de le frapper comme il s’y attendait, Maria jeta les bras autour de ses épaules. « Oh, dieu merci. »

- « Tu n’es pas en colère ? »

- « Je devrais l’être. » Elle reposa sa tête sur son cœur. « Je suis juste tellement contente que c’était toi. Je commençais à me sentir tellement coupable. »

- « Pourquoi ? » demanda-t-il en l’éloignant de lui pour la regarder.

Ses joues étaient rouges. « Michael, tu as des mains fantastiques. Mystiques, même. Et c’était vraiment bon. »

Un lent sourire commença à se former. « Ce n’était pas comme si tu me trompais ».

Elle redevint sérieuse devant cette hypothèse correcte. « Tu es le seul que je veux. Je t’aime Michael Guerin. Et seulement toi. »

Son sourire ravi toucha le cœur de Maria. Pas besoin d’imagination là. « Je veux toujours y aller lentement. »

- « Ca marche pour moi. » Elle l’embrassa. « Mais je n’ai rien contre aller plus loin de temps en temps. »

- « Comme tu veux. »

- « Mmm, ça m’a l’air prometteur ».


FIN
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