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 Inversion des rôles

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Ephyse
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Ephyse


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MessageSujet: Inversion des rôles   Inversion des rôles EmptyDim 18 Sep - 5:39

Chapitre 1

* Maria *
Avec Liz, nous discutons en attendant de trouver des clients à servir.
LIZ : Regarde, Michael Guerin est encore en train de te dévoré des yeux.
MARIA : Liz, arrête de raconter n-importe quoi
Je lance un regard du coté de Michael et remarque que Liz disait vrai, Michael me regarde.
LIZ : Michael, non
LIZ : Il est mignon, non, avec ses piques !
MARIA : Et même si c’était vrai, de toute façon je sors avec Chris. Il est gentil, fidèle et il m’aime
LIZ : Mais pas toi !
MARIA : Liz !
A peine ai-je fini de prononcer son prénom, que des vois se font entendre. Des homme se disputes, je n’aime pas ça, à leur ton on dirait des bombes prêtent à exploser à tout moment. Qu’est-ce que je viens de dire ! L’un des deux sort une armes, tout le monde se baisse, sauf moi, je suis figé sur place. Il faut dire que j’ai toujours été peureuse. Je n’ai pas le temps de penser bien longtemps, je sens un métal froid dans mon corps, il me déchire les entrailles, puis… plus rien. Quand je reprend conscience, Michael est au dessus de moi, au début je ne comprend pas tout puis j’y arrive petit à petit. Il veut que je dise que je suis tombée et que j’ai renversé une bouteille de ketchup au passage. Alors c’est ce que je fais, je ne sais pas trop pourquoi, mais je le fait, c’est l’histoire que je raconte au chérif quand il vient m’interroger. Alors que je lui parle, je ne sais pas pourquoi, je sais vous allez me dire que je ne sais pas grand chose, mais je suis en train de parler au chérif et Liz me regarde bizarrement, je suis sûre qu’elle sais quelque chose. Non, elle ne sais rein, elle doit juste être un peu sous le choque, c’est vrai quoi, on aurait pu croire que j’étais morte. Morte ? Mais bien sûre qu’elle croit avoir halluciné, j’étais morte !!! Pourquoi je suis encore en vie ? Michael ! Michael est le seul qui puisse me fournir des explications. Malheureusement, il est trop tard pour aller le voir, je vais devoir attendre demain pour les explications.
Dans la soirée, je suis dans ma chambre, j’enlève mon uniforme que je range dans un sac. En passant devant la glace j’aperçois quelque chose de bizarre. En y regardant mieux, je découvre une trace de main argenté sur son abdomen, là où Michael a posé sa main pour me guérir. Là, il me doit vraiment des explication.
Il est trois heures du matin, je n’arrive toujours pas à dormir. Pas étonnant ! Comment dormir alors que je suis morte il y a 10 heures. Je sais ce que vous pensez « elle est folle celle la, elle arrête pas de dire qu’elle est morte alors qu’elle est en vie ». Je sais, c’est difficile à croire mais je suis morte, Michael m’a ramené à la vie. Ne me demandé pas comment, je n’en sais n’en sais rien est je vous l’ai déjà dit.
C’est bon, c’est le matin et je peux vous dire que je ne suis pas très fraîche. Il faut dire que j’ai dormi en tout et pour tout 2h, j’ai réfléchi toute la nuit et j’ai cherché une explication logique à ce qui c’est passé. Et vous voulez savoir ? Je n’en ai pas trouvé.
Je suis en cour de bio, à ma table habituelle, avec mon partenaire habituel, Mickael. Il mâche son stylo comme si de rien n’était, comme si rien ne s’était passé la veille. Puis quand le prof demande d’examiner sa salive, monsieur demande à aller au toilette. Alors je prend son crayon, examine sa salive et ce que je vois me donne envie de crier. Sa salive est différente de la mienne. C’est pas que j’ai peur, mais… j’ai toujours eut une vie calme, bien organisé et là, plus rein, je ne contrôle, plus rien, et ça, depuis ma mort.
A la sortie du cour, je l’attrape et l’entraîne dans une salle vide, ou presque deviné qui est là ? Mon copain, Chris.
CHRIS : Maria
MARIA : Chris
CHRIS : Michael
MARIA : Tu peux nous laisser, il faut qu’on révise notre… bio
CHRIS : Bien sûr, à tout à l’heure ma chérie
Un fois Chris sortit, je soulève mon T-shirt et montre la marque à Michael. Il a l’air étonné.
MARIA : Tu sais quand tu es partit, j’ai… j’ai examiné ta salive, elle est pas pareille que la notre, il doit y avoir une explication, enfin je suppose, j’ai besoin de savoir.
MICHAEL : Je ne viens pas d’ici
MARIA : Comment ça, tu es étranger ?
MICHAEL : Ne fait pas semblant de ne pas comprendre, tu sais très bien ce que je veux dire. Un simple étranger n’aurait pas pu te guérir.
MARIA : Mais les extraterrestres n’existe pas
MICHAEL : La preuve que si
Là, s’en ai trop je ne peux pas rester. Je commence à partir. Mickael me rattrape et me bloque la porte.
MICHAEl : Maria, tu as ma vie entre tes mains.
Et voilà, le supposé rebelle du lycée me prend par les sentiments. Que veut-il dire par « tu as ma vie entre tes mains » ? Bon d’accord, je ne suis pas idiote, je sais bien que si ça venait à s’ébruiter, Michael deviendrais un rat de laboratoire, et je n’ai pas envie que ça arrive.

* Michael *
Je suis là, au crash, avec Max, comme tous les jours. Et comme tout les jours je regarde Maria. D’accord je suis un rebelle, cheveux en bataille, et tout et tout, mais cette nana a quelque chose de spécial. Elle vient de tourner la tête vers moi, elle parlait avec Liz et maintenant elle me regarde. Je ne détourne pas mon regard, elle détourne le sien. Puis soudain c’est la panique, deux hommes se disputent, une armes apparaît et un coup part. Maria ! Elle est touchée, il faut que j’y aille. Je suis en train de partir l’aider mais Max m’arrête.
MAX : Qu’est-ce que tu fous ?
MICHAEl : A ton avis Maxwell
MAX : Tu peux pas faire ça, tu étais le premier à dire de ne…
Je n’entends pas le reste de la phrase. Vous voulez savoir pourquoi ? Je suis partit aider Maria. Bon, c’est vrai, je n’ai jamais voulu que l’on dise à qui que ce soit notre identité, mais là, c’est différent. En quoi est-ce différent ? Le rebelle que je suis, même si ça ne se voit pas trop, a un cœur, et je ne pourrai jamais vivre avec l’idée qu’elle soit morte alors que j’aurais pu la sauver.
Quand j’arrive vers elle, elle est déjà inconsciente. Est-il trop tard ? Non, bien sûr que non. Je pause mes mains sur sa blessure, je reçois des flashes, de sa vie, ses basket rouges, son dalmatien et plein d’autre choses. Enfin… elle ouvre les yeux… Elle me regarde hébété. Mon dieu se regard. Bon, Mickael, ressaisit toi.
MICHAEL : Tu dois rein dire Maria, ne dis rien de tout ça, tu t’es renversé une bouteille de ketchup dessus en tombant, c’est tout, rien de plus.
Maria acquiesce légèrement, et moi, je me dépêche de rejoindre Max avant que les secours et surtout le chérif ne se ramène.
Il est trois heure, je n’arrive pas à dormir. Comment pourrais-je dormir alors que la fille de mes rêves, bon vous le répétez a personne si quelqu’un apprenait que j’avais un cœur ça serais catastrophique pour ma réputation de rebelle, je sais Max est au courant et sûrement Isabel aussi à cette heure là, mais ce n’est pas une raison pour le répéter. Où en étais-je ? Ah oui, comment dormir ! Mais de tout façon si elle avait prévenu Valenti, je serais déjà en cage, ce qui veut dire qu’elle n’a rien dit. C’est bon, je peux dormir, eh dire que j’ai mis 10 heures à trouvé ça ! Vous devez me trouver, comment dire… bête ! Il est 4 heure, je ne dors toujours pas, je passerais bien faire un petit tour chez Maria, mais elle doit dormir. Quoi que, avec ce qui est arrivé ça m’étonnerai un peu, mais ce n’est pas parce qu’elle n’a rien dit qu’elle a envie de me voir, donc je vais rester là, dans mon lit, bien sagement.
J’arrive en cour de bio, ma partenaire, qui n’est autre que Maria, est déjà là. Comme d’habitude, pas de bonjour. Pourquoi ? Parce que si je dis bonjour à une fille, ça cassera mon image de rebelle. Eh oui, j’y tiens à cette réputation. Le prof annonce le sujet d’aujourd’hui : Etude de la salive. Eh merde, mon sujet préféré, alors je demande à aller aux toilettes, et d’ailleurs j’y fonce avant que l’on me donne la réponse.
Voilà, c’est la fin du cour, je suis revenu des toilettes il y a à peine 5 minutes. Pas besoin de vous dire que j’ai fait péter tout le cour. Je passe à peine la porte que Maria me chope par le pull et m’entraîne dans une salle, vide. Ou du moins, censé être vide car nous nous retrouvons nez à nez avec un crétin de service. Bon d’accord, là je suis méchant, mais c’est dans ma nature. Eh pis, il faut dire qu’il sort avec Maria, donc pourquoi serais-je gentil ? Elle lui fait comprendre que nous voulons être seuls et le crétins se barre. Là, elle commence à soulever son pull, je me sens plus, il faut qu’elle arrête ça vite fait. Et là, surprise ! Il y a ma main sur son abdomen, enfin, le dessin de ma main, couleur argenté, ça doit être un effet secondaire de la guérison. Mais je n’ai pas le temps de réfléchir plus sur le sujet car elle commence à parler.
MARIA : Tu sais quand tu es partit, j’ai… j’ai examiné ta salive, elle est pas pareille que la notre, il doit y avoir une explication, enfin je suppose, j’ai besoin de savoir.
MICHAEL : Je ne viens pas d’ici
MARIA : Comment ça, tu es étranger ?
MICHAEL : Ne fait pas semblant de ne pas comprendre, tu sais très bien ce que je veux dire. Un simple étranger n’aurait pas pu te guérir.
MARIA : Mais les extraterrestres n’existe pas
MICHAEL : La preuve que si
Une mouche l’a piqué, elle part en courant. Je la rejoins avant qu’elle ne franchisse la porte.
MICHAEl : Maria, tu as ma vie entre tes mains.
Elle part, je n’en reviens pas d’avoir dit ça, ça ne me ressemble pas, ça ne ressemble pas aux paroles que je viens de lui dire, je viens pratiquement de me mettre à genou devant elle. Mais c’est la vérité, elle a ma vie entre ses mains.

A suivre…
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MessageSujet: Re: Inversion des rôles   Inversion des rôles EmptyDim 18 Sep - 5:40

Chapitre 2

* Michael *
Je déjeune avec Isa et Max. Ce dernier a tout raconté à Isabel, elle est furieuse contre moi.
ISA :Nous avions une vie pratiquement normale, comment as-tu pu faire ça ? (à Max) Et toi, comment as-tu pu le laisser faire ça ?
MAX : Et attend là, je ni suis pour rien, je ne suis pas sa nourrice.
MICHAEL : Ne me regarder pas comme ça, je ne m’excuserai pas.
ISA : Tu te fou de notre gueule Monsieur je ne fait confiance à personne ! C’est toi qui nous a interdit de le dire à qui que ce soit, pour que nous ne soyons pas en danger et toi tu balance notre secret à une inconnue ! Tu te rencontre que notre vie va changer du tout au tout ?
MICHAEL : Mais non, on continu comme avant, je lui fait confiance.
Et sur cette remarque je les plante là. Bon d’accord, j’ai toujours refusé que nous dévoilions notre secret, mais là ce n’est pas la même chose. Je sais que je peux faire confiance à Maria, elle ne me trahira jamais. D’accord Isabel à de quoi être énervé, mais elle se calmera, dès qu’elle verra que Maria ne nous trahira jamais, il faut juste qu’elle la connaisse, je suis sûr qu’elles vont s’adorer. Quoique, Isabel est plutôt du genre prétentieuse mais je sais qu’au fond elle se sent seule et qu’elle a besoin d’une amie.

* Maria *
Je suis dans les toilettes. Je sais ce n’est pas un lieu très… Mais c’est un lieu tranquille, tout fait ce que je recherchait. J’ai besoin de réfléchir, je l’ai déjà fait toute la nuit mais j’en ai encore besoin, du moins il me semble. Je veux dire, réfléchir sur quoi ? Mickael ne peux pas être un méchant extraterrestre, il m’a sauvé la vie. Attendez, je viens de dire quoi ? Les extraterrestres n’existent pas, et pourtant je ne trouve pas d’explication logique, peut-être parce qu’il y en a pas. Eh merde la porte vient de s’ouvrir, et double merde c’est Liz qui apparaît.
LIZ : Je n’ai pas arrêté de t’appeler !
MARIA : Je sais
LIZ : Alors pourquoi tu ne me répond pas ? Que c’est-il passé ?
MARIA : Que c’est-il passé quand ? Au crashdown ? Mais tu étais là Liz, tu veux que je te dise quoi de plus ?
LIZ : Que ce n’était pas du ketchup par exemple. J’ai pressé un chiffon contre ta blessure, il y avait du sang !
MARIA : Mais qu’est-ce que tu vas inventé ! Tu vais peur, tu as cru que c’était du sang, voilà tout.
Liz part, a mon avis elle me fait la tête. Ca me fait mal, c’est la première fois que nous nous engueulons, du moins aussi sérieusement. Mais elle a raison de m’en vouloir, après tout, si les rôles étaient inversé, je pense que je lui en voudrai, si je sentais qu’elle me cachait quelque chose. Mais les choses ne sont pas inversées et elle m’en veux. Je ne sais pas comment me sortir de cette galère. Michael aurait peut-être mieux fait de me laisser mourir, ça éviterai ces problèmes avec Liz, et avec tout le monde d’ailleurs, ils seraient peut-être tristes, mais moi je n’aurais plus de problèmes, je n’irais plus en cours, la belle vie quoi ! Enfin ,façon de parler. Mais ! Attendez ! Ne deviendrais-je pas égoïste là ? Je ne pense qu’à moi, à cause de quoi, d’une petite dispute avec Liz. Mais je l’aime tellement, je n’aime pas lui mentir.
Plus tard dans la soirée, j’arrive chez moi avec Chris, ou du moins près de chez moi. Après un dernier bisou, il me quitte, mais malheureusement, avant de partir, il a aperçu la trace, vous savez, la main de Michael. Mais bon, je n’ai pas envie de penser à ça maintenant. Le seul truc, Chris, c’est le frère de Kyle, Kyle Valenti, le fils du shérif, vous comprenez où est le problème ? Mais bon je doute qu’il ne parle d’une chose aussi débile qu’un marque, qui peut aussi bien être un tatouage, à son père. Surtout que d’après lui, il ne parle jamais de nous à son père, et dans un sens je ne m’en plaint pas, car son père fréquente ma mère. Et ma mère me surprotège pour que je ne refasse pas les même bêtises qu’elle alors, je préfère qu’elle ne soit pas au courant de mes relations amoureuses. Surtout, celle à la qu’elle je pense en ce moment, bon d’accord ce n’en est pas vraiment une, mais bon. Eh oui, je n’arrive pas à me sortir Michael de la tête. Si ma mère savait que je suis en train de tomber amoureuse d’un types qui a les cheveux en batailles et qui fait péter la moitié de cours, elle me tuerai !

* Michael *
J’arrive vers sa fenêtre et je l’appelle. Elle apparaît dans mon champ de vision et ouvre sa fenêtre. Je rentre, je me sens intimidé. Pourquoi ? Par quoi ? Je ne saurais vraiment le dire. Peut-être le fait d’être dans la chambre de la fille que j’aime ou peut-être parce que je suis dans la chambre de la fille que j’aime. JE SUIS DANS LA CHAMBRE DE LA FILLE QUE J’AIME !!! Bon d’accord, je deviens pathétique. Mais je suis là à quelques centimètres d’elle, j’ai envie de la prendre dans mes bras, de l’embrasser. J’ai en vie de sentir le contact de sa peau sous mes doigts, comme hier au crash. J’ai vraiment envie de l’embrasser. Et c’est ce que je fais, je l’entoure de mes bras et je l’embrasse. Doucement d’abord, puis voyant qu’elle ne me repousse pas je continu. Au bout de quelques secondes, elle entrouvre ses lèvres, nous mêlons nos langues. Oh mon dieu que c’est bon, vous pouvez pas savoir depuis combien de temps j’attends ce moment. Je passe mes mains sous son chemisier, je veux sentir sa peau sous mes mains, elle est douce, on dirait qu’elle a une peau de bébé. Les mains… Les mains de Maria viennent de passer sous mon T-shirt, alors là, je ne répond plus de rien. Elle se sert si bien de ses mains. Mois j’ai sortit les miennes de sous son chemisier pour défaire les boutons de ce dernier. Soudain elle m’arrache des gémissement, je ne peux pas m’en empêcher, elle se sert si bien de ses mains. Ca y est, le chemisier est par terre, et mon T-shirt aussi, il vient de tomber, je n’avais même pas remarquer qu’elle me l’enlevait. Quand je reviens dans le monde réel, je suis allongé sur son lit, Maria est à coté de moi, la tête posé sur mon torse. Oh mon dieu, que c’était bon, je veux dire, je n’avais jamais rien ressentit de tel avant. C’est comment dire… on aurait dit une explosion.

* Maria *
Je sui assise sur mon lit quand j’entend quelqu’un m’appeler. Je reconnaît cette voix : Michael. J’ouvre ma fenêtre et il rentre dans ma chambre. Il aurait pu choisir un meilleur moment pour venir, pas que ce soit pas le bon, mais… J’étais en train de penser à lui, je pensait qu’il était en train de m’embrasser et puis que l’on faisait, en fin vous voyer quoi. Bon je sais je sui folle de penser à sa mais, je n’y peut rien.
Il ouvre la bouche comme pour parler mais finalement, il ne le fait pas. Il fait autre chose, il commence à m’embrasser. Doucement puis, s’en doute comprenant que je vais pas le repousser, il continu. J’entrouvre mes lèvres et il comprend l’invitation, il mêle sa langue à la mienne. Oh mon dieu qu’il embrasse bien ! Je devrai le repousser, il y a Chris, mais… Il vient de passer ses mains sous mon chemisier, et dieu sait qu’il se sert bien de ses mains. Moi, je ne tarde pas à passer les miennes sous son T-shirt, je lui caresse le dos, je donnerai tout pour savoir ce qu’il pense à ce moment là. Mais je n’ai pas besoin de le lui demander, ma réponse arrive sous la forme de petits gémissements. Oh mon dieu, je viens de remarquer que ses mains son en train de déboutonner mon chemisier, heureusement que ma mère est sortit. Je sais je pourrais toujours le repousser, mais je n’y arrive pas, je ne contrôle plus rien. Son T-shirt tombe aussi, puis, plus rien, quand je reprend consciente de la réalité, je suis allongée à coté de lui, la tête sur son torse. C’était magnifique, je n’avais jamais rien vécu de tel. Mais qu’est-ce que je raconte, je viens de tromper mon copain, et je trouve le moyen d’être heureuse. Peut-être que Liz avait raison, je ne suis pas amoureuse de Chris. En tout cas, ce n’est pas maintenant que je vais réfléchir à ça, j’ai beaucoup mieux à faire.

* Michael *
Nous sommes là, bien tranquille dans son lit. Elle a la tête posé sur mon torse. J’arrive pas à y croire, je viens de couché avec la fille que j’aime depuis que je suis sur cette terre. Nous entendons un petit bruit, Maria sursaute et change subitement, elle a l’air stressée.
MARIA (murmurant) :Michael, part, tout de suite, grouille toi
MICHAEL :Mais pourquoi ?
MARIA :Pose pas de question
MICHAEL :Mais
MARIA :Casse toi !
Et je me retrouve dans la rue, à moitié habillé. Je fini de m’habiller et je rentre chez moi. Quelle mouche peu bien l’avoir piquée ? Nous étions si bien l’un contre l’autre dans ce lit. J’aurais franchement aimé que ce moment ne finissent jamais. Eh merde ! Je viens d’y penser, Maria a déjà un copain. Si ça se trouve cette nuit n’était rien pour elle. Non, elle n’est pas comme ça, Maria est une fille extra.
Je m’allonge sur mon lit est repense à cette nuit jusqu’au petit matin. Mon réveil sonne et me sort de mes pensées. Je m’habille en vitesse, pour une fois, je dois arriver en avance en cour. Il faut que je la voie avant le début des cours.

* Maria *
Je suis bien tranquille là, dans ses bras, alors qu’un bruit retentit. Merde ! c’est ma mère qui rentre. Double merde ! elle vérifie toujours si je suis là quand elle rentre. Bien sûr, ça elle ne sais pas que je le sais. Triple merde ! Michael est encore là, a poil, sous mes drap, dans ma chambre, ça fait beaucoup de merde, il faut qu’il parte.
MARIA (murmurant) :Michael, part, tout de suite, grouille toi
MICHAEL :Mais pourquoi ?
MARIA :Pose pas de question
MICHAEL :Mais
MARIA :Casse toi !
Ouf ! il sort et en plus il obéit, il se grouille. Enfin, mieux valait qu’il obéisse car même pas 30s après qu’il soit sortit, ma mère ouvre doucement ma porte et la referme. Et je reste, toute la nuit, allongé sur ce lit, à réfléchir au évènements qui viennent de ce produire. C’était si… si… merveilleux. Mais que vais-je faire, je viens de tromper mon copain. D’accord, je ne l’aimais pas vraiment, mais avec Chris, c’était la sécurité. Tandis que Michael c’est, comment dire, c’est l’inconnu. Mon réveil sonne et me sort de mes pensées. Aujourd’hui, j’ai envie de prendre mon temps, je n’ai pas envie de croiser Michael, pas pour le moment. Pourtant, le destin, ou plutôt ma mère en a décidé autrement.
AMY : Maria, dépêche toi, tu vas être en retard
MARIA : …
AMY :Maria !
MARIA :J’arrive maman.
Et voilà, je suis au lycée. Pas de Michael en vu, ni de Chris. J’arrive à mon casier, prends mes cours. Je tourne la tête vers la droite et je vois Michael arriver. C’est décidé, je pars à gauche. J’entends un bruit de pas rapide derrière moi, une main m’attrape par la bras et me force à m’arrêter. Je ne vous dit pas qui c’est, vous vous en doutez.
MICHAEL : Maria, faut qu’on parle.
MARIA : Non, je ne crois pas.
MICHAEL : Je sais que tu as autant aimé que moi cette nuit et…
MARIA : Pas ici Michael, pas maintenant
MICHAEL : Quand alors ?
MARIA : Je… ce soir, à 19h au parc.
Et sans attendre sa réponse je pars. Assez vite pour qu’il ne lui vienne pas l’idée de me suivre.

* Michael *
J’arrive au lycée. Et deviné qui est la première personne que je vois ? Maria bien sûr ! Elle regarde de mon coté… mais elle part de l’autre ! Je suis sûr qu’elle m’a vu, elle m’évite. J’accélère mon allure et la rattrape en deux tant trois mouvements.
MICHAEL : Maria, faut qu’on parle.
MARIA : Non, je ne crois pas.
MICHAEL : Je sais que tu as autant aimé que moi cette nuit et…
MARIA : Pas ici Michael, pas maintenant
MICHAEL : Quand alors ?
MARIA : Je… ce soir, à 19h au parc.
Et elle me plante là. Surpris, je ne cherche même pas à la suivre. Elle m’évite ! Je crois que je viens de comprendre le pourquoi du comment ! Nous sommes au lycée et officiellement, elle sort avec Chris ! Un excès de jalousie monte en moi, j’ai la soudaine envie de le trouver et de lui casser la gueule. Mais je vais me retenir, pour Maria. La cloche sonne, il serait peut-être tant d’aller… aux toilettes ! Quoi, vous ne pensiez quand même pas que j’allais arriver à l’heure en cour !

La fin des cours vient de sonner. J’ai croisé Maria au moins 5 fois dans la journée. Elle m’a complètement ignoré, sauf une fois ! Elle m’a sourit. Vous voulez savoir ce que ça veut dire. Ca veut dire que j’ai mes chances ! J’ai mes chances avec Maria ! Bon, je ne vais pas me faire trop d’illusions… trop tard, je m’en suis déjà fait plein ! On verra bien ce soir.

A suivre…
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MessageSujet: Re: Inversion des rôles   Inversion des rôles EmptyDim 18 Sep - 5:41

Chapitre 3

* Maria *
Voilà, c’est la fin de la journée. On ne peut pas dire que j’aime les cours, mais aujourd’hui, c’était pire que tout. J’ai cru que j’allais péter un plomb tellement la journée m’a semblé longue. J’en ai profiter pour penser ce que j’allais faire de Chris et Michael. Et vous savez quoi ? Je n’ai toujours pas trouvé la réponse. Aujourd’hui, j’ai croisé Michael 5 fois. Je l’ai ignoré 4 fois, mais la 5e, je n’ai pas pu résisté, je lui ai sourit.

Je suis chez moi, il est 18h30 et je ne sais toujours pas quoi mettre. J’opte finalement pour une petite jupe beige qui m’arrive au genoux, accompagné d’un top rose clair.

J’arrive au parc à 19h pile, Michael et déjà là. Depuis quand arrive-t-il à l’heure quelque part ? Et là, je réalise qui si il est en avance, c’est que la réponse doit être importante pour lui. Je m’approche, sans bruit du banc où il est assis.
MARIA : Salut
MICHAEL : Maria… tu es magnifique.
MARIA : Merci. Je…
MICHAEL : Avant que tu ne dise quoi que ce soit, je voudrai te dire que cette nuit a été merveilleuse et que pour rien au monde je ne voudrais effacer ce qui est arrivé.
MARIA : J’ai une question à te poser
MICHAEL : Vas-y
MARIA : Pourquoi m’as tu sauvé et pris le risque de te faire tuer ?
MICHAEL : Parce que c’était toi
MARIA : Merci… Je sais que ce que je vais te dire va sûrement te faire mal, mais j’aimerai que tu oublie cette nuit. Moi aussi je l’ai trouvé magnifique, mais je… je ne peux pas quitter Chris, pas en ce moment. Je me doute que tu n’as pas envie d’entendre parler de lui, mais c’est un mec bien. Je ne suis pas assez forte pour vivre dans ta vie Michael. Pour moi, Chris représente la sécurité, même si je ne l’aime pas. Je suis désolé pour cette nuit, je ne voulais pas jouer avec tes sentiments.
MICHAEL : Tu regrettes ?
MARIA : Non.
MICHAEL : Alors je sais que j’ai une chance.
Et là il se penche pour m’embrasser. Dans un premier temps je résiste, mais pas pour longtemps. Il m’offre un baiser passionné. Mais bientôt je le repousse je murmure un « je t’aime » et je parts. Des larmes commencent à couler le long de mes joues. Alors que je suis à la sortie du parc, j’entend Michael crier.
MICHAEL : Je n’abandonnerais pas Maria, tu m’entends.

* Michael *
Pour la première fois de ma vie, je suis en avance quelque part. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce que je ne veux pas la louper, de ce qu’elle va me dire ce soir, va dépendre une partie de ma vie. Soudain, j’entends des pas arriver près de moi. Je lève la tête et voit apparaître une Maria resplendissante. Pourtant, il y a dans ses yeux un sentiments indéchiffrable qui ne m’annonce pas grand chose de bon.
MARIA : Salut
MICHAEL : Maria… tu es magnifique.
MARIA : Merci. Je…
MICHAEL : Avant que tu ne dise quoi que ce soit, je voudrai te dire que cette nuit a été merveilleuse et que pour rien au monde je ne voudrais effacer ce qui est arrivé.
MARIA : J’ai une question à te poser
MICHAEL : Vas-y
MARIA : Pourquoi m’as tu sauvé et pris le risque de te faire tuer ?
MICHAEL : Parce que c’était toi
MARIA : Merci… Je sais que ce que je vais te dire va sûrement te faire mal, mais j’aimerai que tu oublie cette nuit. Moi aussi je l’ai trouvé magnifique, mais je… je ne peux pas hquitter Chris, pas en ce moment. Je me doute que tu n’as pas envie d’entendre parler de lui, mais c’est un mec bien. Je ne suis pas assez forte pour vivre dans ta vie Michael. Pour moi, Chris représente la sécurité, même si je ne l’aime pas. Je suis désolé pour cette nuit, je ne voulais pas jouer avec tes sentiments.
MICHAEL : Tu regrettes ?
MARIA : Non.
MICHAEL : Alors je sais que j’ai une chance.
Et là je me penche pour l’embrasser. Dans un premier temps elle résiste, mais pas pour longtemps. Je l’offre un baiser passionné. Mais bientôt elle me repousse, me murmure un « je t’aime », qu’elle pense que je n’ai pas entendu et elle part. Alors qu’elle arrive à la sortit du parc je m’entend crier.
MICHAEL : Je n’abandonnerais pas Maria, tu m’entends.
Et elle tourne au bout de le rue sans même se retourner. Mais je sais qu’elle m’aime, même si elle ne sait pas que je l’ai entendu. Vous vous rendez compte, elle m’a dit « je t’aime ». Je ferais tout ce qui est en mon, pouvoir pour qu’elle change d’avis. Je vais lui montrer que je luis convient mieux que ce Chris. Mon avantage, elle m’aime.

A suivre…
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MessageSujet: Re: Inversion des rôles   Inversion des rôles EmptyDim 18 Sep - 5:42

Chapitre 4

* MARIA *

Je suis rentrée chez moi en pleure. Je viens de faire une belle boulette. Je ne sais même pas pourquoi, ou plutôt si, je le sais trop bien. J’ai eu peur, peur de l’inconnu, peur de sortir de ma petite vie bien tranquille. Pourtant je l’aime. Je sais, ça peut paraître bizarre car il y a à peine quelques que jours je ne le connaissait presque pas. Mais j’ai eu le coup de foudre. Depuis qu’il m’a sauvé je… non, non, non, ne vous imaginez pas que ce n’est que de la reconnaissance, je l’aime, vraiment. Je revois toute la journée, ce regard, qu’il a porté sur moi en essayant de me guérir. Il a des magnifique yeux noisette, je pourrai me perdre dans son regard des heures entière, mais comme je vous l’ai déjà dit, j’ai peur de l’inconnu et je ne suis pas assez forte, pas assez courageuse pour prendre ce risque. Je m’allonge sur mon lit et allume ma radio pour oublier, mais je crois que la vie est contre moi.

« Il a le droit de poser ses mains sur ton corps
Il a le droit de respirer ton odeur
Il a même droit aux regards qui le rendent plus fort
Mais moi la chaleur de ta voix dans le cœur

Et ça fait mal, crois-moi, une lame
Enfoncée loin dans mon âme
Regarde en toi même pas l’ombre d’une larme

Et je saigne encore, je souris à la mort
Tout ce rouge sur mon corps
Je te blesse dans un dernier effort

Il aime caresser ton visage quand tu t’endors
Et toi tu te permet de dire encore, encore
Je sais que ce qui ne tue pas nous rend p^lus forts
Mais moi, mais moi je suis déjà mort


Et ça fait mal, crois-moi, une lame
Enfoncée loin dans mon âme
Regarde en toi même pas l’ombre d’une larme

Et je saigne encore, je souris à la mort
Tout ce rouge sur mon corps
Je te blesse dans un dernier effort »

Je me relève brutalement. Pour la première fois depuis que je l’ai quitté, je pense « normalement », si on peut dire. Et si Mickael pensait ça, que je me foutais de ce qu’il ressentait ? Non, il ne peut pas penser ça, il ne doit pas. Je l’aime, d’accord je sais que je lui fait du mal, beaucoup, mais moi aussi ça me déchire de lui en faire. Je ne peux pas lui laisser penser ça, il faut que j’aille le voir. Je viens de comprendre une chose importante, je ne veux pas le perdre. En écoutant cette chanson, je viens de trouver le courage. Ma vie ne sera plus comme avant, elle va changer, mais qu’est-ce que le changement quand c’est pour son bonheur ?
Je m’habille rapidement et sort par ma fenêtre pour ne pas réveiller ma mère qui vient de rentrer. Eh merde ! Je vais devoir marcher, le vieux tas de ferraille qui me sert de voiture réveillerai tout le quartier !


* MICHAEL *

Je l’ai regardé partir et je suis encore resté longtemps à fixer l’entrée, espérant qu’elle revienne, mais elle ne l’a pas fait. Je me décide finalement à rentrer chez moi. Je me déshabille, non c’est pas ce que vous croyez, j’ai gardé mon caleçon, et m’allonge sur mon lit. Je tend le bras, allume la radio et ri amermant en écoutant la chanson qu’elle diffuse, comme si tout la terre était déjà au courant de mes problème.

« Il a le droit de poser ses mains sur ton corps
Il a le droit de respirer ton odeur
Il a même droit aux regards qui le rendent plus fort
Mais moi la chaleur de ta voix dans le cœur

Et ça fait mal, crois-moi, une lame
Enfoncée loin dans mon âme
Regarde en toi même pas l’ombre d’une larme

Et je saigne encore, je souris à la mort
Tout ce rouge sur mon corps
Je te blesse dans un dernier effort

Il aime caresser ton visage quand tu t’endors
Et toi tu te permet de dire encore, encore
Je sais que ce qui ne tue pas nous rend plus forts
Mais moi, mais moi je suis déjà mort


Et ça fait mal, crois-moi, une lame
Enfoncée loin dans mon âme
Regarde en toi même pas l’ombre d’une larme

Et je saigne encore, je souris à la mort
Tout ce rouge sur mon corps
Je te blesse dans un dernier effort »


Cette chanson me rappelle étrangement quelque chose, pas vous ? Mais il y a quand même des différences, Maria, elle pleure, elle sait qu’elle me fait du mal, mais ça la rend malheureuse. Vous vous demandez peut-être comment je fais pour en être si sûr ? Mais parce qu’elle m’aime bien sûr, elle me l’a dit, et elle était sincère, j’en suis sûr.
J’en sui la dans mes réflexions quand quelques coups contre la porte retentisse. Je me lève en me demandant qui peut bien me déranger à cette heure. J’ouvre la porte et surprise ! Maria, maria se tient devant moi, elle sourit timidement. Et moi, je reste là, planté comme un idiot, ne pouvant ni bouger, ni parler.
MARIA : Je peux entrer ?
Sa voix me fait sortir de ma transe, je me reprend aussitôt.
MICHAEL : Oui, bien sûr
MARIA : Merci
MICHAEL : Qu’est-ce qui t’amène ?
MARIA : Je voudrai qu’on parle
MICHAEL : De quoi ?
MARIA : Je regrette se que je t’ai dit tout à l’heure. Je t’aime toi et pas Chris, mais j’ai peur de…
MICHAEL : De moi ? demandais-je avec un peu d’appréhension
MARIA : Non, je… tout est allé si vite, on a passé la nuit ensemble alors que ça fait 5 mois que je suis avec Chris et on ne l’a toujours pas fait. J’ai peur du changement que ça va impliquer dans ma vie, je veux dire, tu n’es pas humain. Oh pis non, c’est pas ça le problème, le problème c’est que je t’aime comme je n’ai jamais aimé, alors imagine qu’il t’arrive quelque chose ?
Je m’approche et je l’a prend dans mes bras pour la calmé. La chaleur de son corps contre le mien me fait perdre tout mes moyens, mais je me reprend avant qu’elle ne s’en aperçoive.
MICHAEL : Maria, que veux-tu qu’il m’arrive ?
MARIA : Je sais pas mais…
MICHAEL : Pas de mais, il ne m’arrivera rien, je te le promet.
MARIA : Michael ?
MICHAEL : Oui,
MARIA : Est-ce que tu m’aime ?
MICHAEL : Oui, je t’aime, comme un fou
Et là, je ne peux pas m’en empêcher, je prend son visage entre mes mains et dépose un doux baiser sur ses lèvres.


* MARIA *

J’arrive devant sa porte, j’hésite à frapper puis finalement je me lance. Il l’ouvre la porte, je… oh mon dieu, il est en caleçon, j’arrive pas à y croire. Je revoit cette nuit, qu’on a passé ensemble. Je… non, Maria, ressaisie toi ! En sortant de mes pensées, je m’aperçoit que Michael à l’air encore plus surprit que moi. Voyant qu’il ne réagit pas je demande
MARIA : Je peux entrer ?
En entendant le son de ma voix, il se reprend aussitôt
MICHAEL : Oui, bien sûr
MARIA : Merci
Je m’avance lentement dans l’appartement, puis me retourne vers Mickael qui est resté près de la porte d’entrée.
MICHAEL : Qu’est-ce qui t’amène ?
MARIA : Je voudrai qu’on parle
MICHAEL : De quoi ?
A ce moment là, j’ai envie de prendre mes jambes à mon cou mais mon corps ne m’obéi pas. Puis je m’entend dire
MARIA : Je regrette se que je t’ai dit tout à l’heure. Je t’aime toi et pas Chris, mais j’ai peur de…
MICHAEL : De moi ? me demande-t-il avec de l’appréhension dans la voix
MARIA : Non, je… tout est allé si vite, on a passé la nuit ensemble alors que ça fait 5 mois que je suis avec Chris et on ne l’a toujours pas fait. J’ai peur du changement que ça va impliquer dans ma vie, je veux dire, tu n’es pas humain. Oh pis non, c’est pas ça le problème, le problème c’est que je t’aime comme je n’ai jamais aimé, alors imagine qu’il t’arrive quelque chose ?

Il s’approche de moi et me serre dans ses bras. Il me serre si fort que j’ai l’impression d’étouffer, mais je me sens si bien… Il rompt le silence qui’ s’était instauré

MICHAEL : Maria, que veux-tu qu’il m’arrive ?
MARIA : Je sais pas mais…
MICHAEL : Pas de mais, il ne m’arrivera rien, je te le promet.
MARIA : Michael ?
MICHAEL : Oui,
MARIA : Est-ce que tu m’aime ?
MICHAEL : Oui, je t’aime, comme un fou

Et là, comme si attendre une minute de plus l’aurai tué, il prend mon visage entre ses main et dépose un doux baiser sans fin sur mes lèvres.

FIN
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